
Rencontre avec Bong Joon-ho
« Je n’ai pas encore cessé de me chercher moi-même. »
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« Je n’ai pas encore cessé de me chercher moi-même. »
Wang filme un pays hanté, habité par une mémoire d’autant plus présente d’être refoulée.
On est visiblement extrêmement clivants. Ça veut dire avoir du style non, j’ai l’impression ?
Il y a une énergie punk-rock à cette fable où le cinéaste fait un peu son film en cuir
Loin des considérations didactiques qui planaient au-dessus de The Great Wall, Shadow plonge tout entier dans les concepts de servitude, de trahison, de lignée, de légitimité à la possession des terres et de droit à l’existence personnelle face à un système pensé pour anonymiser les individus.
In Fabric est une expérience unique, un assaut sensoriel intransigeant qui déjoue aisément les approches ultra-analytiques du visionnage au profit d’une glorification du ressenti, qui guide le public du rire à l’effroi et de la confusion à la fascination.
Avec High Life, la pertinence de la science-fiction est sûre de durer.
Halloween 2018 est une production tiraillée entre deux pôles créatifs : une volonté de proposer des idées neuves et intéressantes d’un côté, et une paralysie conceptuelle totale de l’autre.
Pour satisfaire les fans de la franchise, Black remplit son film d’idées, pour la plupart réjouissantes. Ainsi, notre connaissance de la technologie et de l’espèce des predators est largement étendue, le film multipliant les détails novateurs en termes de world-building.
Subversion mythologique et abandon scientifique : les nouveaux sentiers de l’horreur indienne.
J’ai tissé des relations de confiance avec certains réalisateurs : Ben Stiller, Jule Taymor, Terrence Malick… Je veux continuer de collaborer avec eux.
Avec Richard Linklater nous avons trois projets pour lesquels on cherche activement le bon moment pour les accomplir. Ils sont tous extrêmement anti commerciaux.
Quel drôle de chemin il aura fallu parcourir à Paul Schrader pour arriver à une œuvre au minimalisme grandiose, traitant d’espérance et de désespérance sur fond de désastre écologique.
Du burlesque muet au mélodrame parlant, Leo McCarey aura su mêler le rire aux larmes, durant quarante ans et presque deux-cents films à (re)découvrir de toute urgence.
J’ai vraiment grandi avec l’horreur. J’avais une collection de magazines Fangoria dans l’appartement de mes parents.
J’ai toujours été fasciné par les personnalités des gens qui évoluent sous la surface de la société dominante et qui se construisent à travers les changements sociaux.