
Aldrich, au-delà de l’apocalypse nucléaire
Kiss Me Deadly et Twilight’s Last Gleaming impressionnent autant par leur facture que par leur portée analytique et, plus de trente ans après la mort de leur réalisateur, conservent toujours la même pertinence et la même violence latente, prête à exploser au grand jour, comme une bombe incontrôlable.