Star Trek Beyond marque les 50 ans d’une franchise de science-fiction faisant désormais partie intégrante de la culture populaire américaine. Il incombait donc aux créateurs du film de proposer une œuvre hybride faisant un bilan tout en relançant la saga.
Roland Emmerich, roi du destruction porn, emploie-t-il donc ses nombreux héros humano-américains de façon à proposer une nouvelle définition du terme ? Parvient-il à dépasser ses propres cinématiques réalisées à l’occasion du ridicule 2012 ? Fait-il encore plus insipide que San Andreas et Avengers réunis ?
États-Unis, 1933. La situation est désespérée. Le crash boursier de 1929 a initié la Grande dépression, plongeant le pays dans des taux de chômage et de pauvreté alarmants. Dans certains […]