Les films libèrent la tête
« J’ai vu six films de Douglas Sirk. Parmi eux, il y avait les plus beaux du monde. » (Rainer Werner Fassbinder) Tous les autres s’appellent Ali (1974) est sa relecture personnelle de Tout ce que le ciel permet (1955), du cinéaste, d’origine Allemande lui aussi, qu’il admirait tant.
