Schrader succeeds perfectly in portraying Leonad’s stream of consciousness, of a person suffering from senility, or at least not completely lucid, using a fragmented narrative that reflects the mind of the protagonist.
Quel drôle de chemin il aura fallu parcourir à Paul Schrader pour arriver à une œuvre au minimalisme grandiose, traitant d’espérance et de désespérance sur fond de désastre écologique.
Dans la pénombre de Tourneur ou derrière les filtres rouges de Schrader, une angoisse commune des origines. Des restes de la RKO à ceux du Nouvel Hollywood, une même qualité de mélodrame archaïque – celui de la part animale.