À l’occasion de la sortie de l’adaptation du roman The Martian (Seul sur Mars) d’Andy Weir par Ridley Scott, nous avons décidé de revenir sur quelques œuvres ayant marqué, pour des raisons historiques, techniques ou artistiques, la représentation cinématographique de cette planète.
Le voyage dans le temps demeure un outil science-fictionnel qui fascine pour deux raisons principales : il implique des questionnements logiques et philosophiques contre-intuitifs, et permet aux conteurs ambitieux de transformer leurs récits en propositions métanarratives invitant leur public à se servir de leurs outils culturels pour sonder la structure même des histoires.
A Nightmare on Elm Street représente un cas particulier dans l’utilisation des conventions oniriques au cinéma. Wes Craven a en effet construit son long-métrage en jonglant constamment entre les deux mondes – les deux diégèses – afin de brouiller au mieux les repères du spectateur et de renforcer les effets des scènes horrifiques, dont le rapport avec le public sert de fondement même au genre.
La boxe a depuis longtemps inspiré de nombreux réalisateurs à mettre en scène ce sport de combat au cinéma. À l’occasion de la sortie en salles de Southpaw (Antoine Fuqua, 2015), il nous semblait intéressant de mettre en perspective quelques œuvres ayant marqué ce sous-genre du film sportif.
Projeté lors du NIFFF 2015 après avoir été sélectionné par l’Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion (ACID) au Festival de Cannes, Gaz de France a été l’une des meilleures […]
Peut-être est-ce là que l’expression cinématographique des désirs nécrophiles est capable de sublimer les représentations plus culturellement acceptables de la sphère sexuelle : à travers elle, il est possible de pousser l’expérience humaine vers ses derniers retranchements.