Filmer l’islamisme : le refus de l’invisible
Climat d’extrême tension oblige, on ne compte plus les « reportages exclusifs », les documentaires et les fictions qui traitent de l’État islamique ainsi que du terrorisme. Nous ne pourrions que nous […]
Film Exposure
Site consacré au cinéma proposant des articles de fond et documentés.
Climat d’extrême tension oblige, on ne compte plus les « reportages exclusifs », les documentaires et les fictions qui traitent de l’État islamique ainsi que du terrorisme. Nous ne pourrions que nous […]
Ça y est, ils sont de retour ! Avec le badass Denzel Washington à leur tête, flanqué du rigolo Chris Pratt, les sept mercenaires reviennent sous la plume de Nic Pizzolatto […]
Loin d’entreprendre la négation de l’idée révolutionnaire avec Zvenigora, Dovzhenko lui donnait au contraire une ampleur sans précédent sur le plan culturel.
Les têtes volantes constituent une caractéristique récurrente des films d’horreur ou fantastiques asiatiques, mais le phénomène prend une dimension bien plus étendue dès lors que le mythe krasuesque est invoqué. Son importance culturelle se révèle même incontournable dans certains pays.
Plus que de simples outils promotionnels, les posters de films peuvent parfois dissimuler des indices intéressants quant à la perception d’une œuvre dans un pays donné ; mieux encore, ils peuvent révéler la manière dont les distributeurs voudraient qu’un film soit perçu.
Parler de cinéma gothique implique habituellement une production occidentale, sinon foncièrement européenne. Que cela pourrait-il alors bien signifier en dehors de nos frontières ? Entre acculturation et déculturation, les cinéastes latino-américains se sont emparés du genre pour mieux exprimer leurs problématiques locales.
Le NIFFF présentera une rétrospective intégrale des films de cinéma de John Carpenter entre le 1er et le 9 juillet 2016. L’occasion de découvrir de nouvelles nuances ?
Sorte d’enfant terrible de JFK d’Oliver Stone, May 6th mélange les événements et personnages réels ou fictifs pour mieux tisser une intrigue englobant toutes les strates de la société néerlandaise, et pour en explorer l’ensemble des maux du moment.
Avec The Great Conqueror’s Concubine, ambitieux biopic de trois heures en deux parties, Stephen Shin propose de relire le futur de la Chine et surtout de Hong Kong à la lumière d’une réinterprétation de leur passé commun.
Revenons sur l’histoire des guerriers d’Odin au cinéma à travers plus de 80 films afin d’en relever les caractéristiques et d’essayer d’en comprendre la persistance.
Comment un mythe se construit-il ? Qu’est-ce qu’un héros ? Qu’est-ce qui différencie l’Homme du monstre ? Toutes ces questions semblent trouver leurs réponses dans le poème Beowulf. Relectures érudites et pertinentes, les films de McTiernan et Zemeckis se font le prolongement de ces interrogations et questionnent à leur tour l’art de raconter les histoires.
Le rituel de fin d’année veut que chaque revue, webzine et blog délivre son top annuel. De notre côté, nous avons opté pour un classement un peu inhabituel. Plutôt que […]
« J’ai vu six films de Douglas Sirk. Parmi eux, il y avait les plus beaux du monde. » (Rainer Werner Fassbinder) Tous les autres s’appellent Ali (1974) est sa relecture personnelle de Tout ce que le ciel permet (1955), du cinéaste, d’origine Allemande lui aussi, qu’il admirait tant.
Kiss Me Deadly et Twilight’s Last Gleaming impressionnent autant par leur facture que par leur portée analytique et, plus de trente ans après la mort de leur réalisateur, conservent toujours la même pertinence et la même violence latente, prête à exploser au grand jour, comme une bombe incontrôlable.
À l’occasion de la sortie de l’adaptation du roman The Martian (Seul sur Mars) d’Andy Weir par Ridley Scott, nous avons décidé de revenir sur quelques œuvres ayant marqué, pour des raisons historiques, techniques ou artistiques, la représentation cinématographique de cette planète.
Qu’arrive-t-il quand un cinéaste hongkongais de catégorie III se réapproprie un thriller noir d’Henri-Georges Clouzot ? Hex incarne toute les possibilités d’un cinéma aux antipodes du classicisme formel brillant des Diaboliques. Deux visions radicalement différentes et pourtant complémentaires d’un même sujet et du 7e art.